S.E Suhail Al Mazrouei, ministre de l'Énergie et des Infrastructures des Émirats arabes unis, lors de la 27e édition de l'Africa Oil Week à Dubaï le 8 novembre 2021
des panélistes PDG, dont Rahul Dhir, PDG, Tullow Oil ; Paul McCafferty, SVP Afrique, Equinor ; Henri-Max Ndong Nzue, SVP Afrique, TotalEnergies ; et Keith Hill, président et chef de la direction, Africa Oil Corp, discutant de la valeur par rapport au volume lors de la 27e édition de l'Africa Oil Week à Dubaï le 9 novembre 2021
Les ministres africains et le ministre de l'Énergie et des Infrastructures des Émirats arabes unis à la table ronde du symposium ministériel et VIP de l'Africa Oil Week à Dubaï le 8 novembre 2021
Des panélistes dont John Hamilton, PDG de Panoro Energy ; Benoit de la Fouchardière, directeur général du groupe Perenco ; Kevin McLachlan, SVP Exploration, TotalEnergies ; et Roger Brown, PDG de Seplat Energy discutent des « opportunités illimitées post-Covid » à l'Africa Oil Week le 10 novembre 2021 à Dubaï
La semaine africaine du pétrole achevée sur une note positive : Des accords de grande valeur et une forte intention de fournir des investissements au continent africain
Englobant une représentation à tous les niveaux des autorités africaines, y compris les départements et entités gouvernementaux, les investisseurs et acteurs clés du secteur de l’énergie en Afrique, la semaine africaine du pétrole a témoigné d’une participation significative des délégués et représentants compétents à l’échelle mondiale et ce, aux séances de discussion stratégiques, aux expositions relevant des secteurs de l’énergie nationaux, et aux séances abordant le réseautage entendant contribuer à la croissance des investissements ainsi qu’à l’identification de solutions visant à relever les défis et enjeux actuels auxquels le secteur de l’énergie fait face
L’Afrique est bien riche en ressources naturelles et énergétique en toutes leurs formes
DUBAI, Émirats arabes unis, 16 novembre 2021/APO Group/ --
La semaine africaine du pétrole (Africa-OilWeek.com) , étant l’une des expositions et conférences les plus importantes et les plus prestigieuses relevant de l’Afrique, s’est achevée jeudi passé sur une note positive, tout en témoignant de la conclusion d’accords de grande valeur ainsi que d’une forte intention de fournir des investissements futurs au continent africain, l’évènement étant tenu, en sa vingt-septième édition, du 08 au 11 novembre à Madinat Jumeirah, à Dubaï, et considéré comme la première édition de cette exposition à être tenue sur un territoire autre que le continent africain, et ayant profité du soutien accordé par les partenaires clés, tels que, entre autres, TotalEnergies, ENI, ADNOC, Chevron, Shell, et Equinor.
Un évènement pour l’Afrique… Et par l’Afrique
C’est ainsi que l’évènement a réussi à engager la participation de plus de 45 ministres et chefs de gouvernements, ainsi que deux commissaires représentant l’Union Africain et des représentants de plusieurs organisations non gouvernementales. D’autant plus, la semaine africaine du pétrole, en son édition de l’an 2021, a offert des séances de discussion relevant du futur du continent africain, notamment en ce qui concerne la réalisation de l’Agenda Vert, les objectifs « zéro émission net », ainsi que tirer profit des revenus générés par le secteur pétrolier et gazier afin d’améliorer les soins de santé, le développement à l’échelle sociale et économique et le niveau de vie de la population africaine.
En effet, l’Afrique abrite aujourd’hui quelques 1,2 milliards de personnes, auxquelles s’ajouteront environ 600 millions d’individus de moins de 25 ans et ce, d’ici 2050. C’est ainsi que le continue dépend grandement du secteur de l’énergie afin de renforcer le développement des richesses, l’établissement de l’entreprenariat, l’expansion du secteur privé, et l’industrialisation. D’autant plus, en assurant la conformité aux objectifs de développement durable établis par l’Organisation des Nations Unis ainsi qu’à l’Agenda 2063 adopté par l’Union Africaine, le corps organisateur de la semaine africaine du pétrole a annoncé, lors du premier jour de l’évènement, la tenue du Sommet pour l’Afrique Verte 2022, étant un évènement qui entend se concentrer sur les investissements au niveau des énergies à faible émission de carbone en Afrique et ce, en réunissant les parties prenantes principales afin de faciliter la tenue d’un dialogue, l’introduction de l’innovation, et la direction des capitaux en faveur du développement social et économique en Afrique.
Les Émirats Arabes Unis bien intéressés au marché africain
Grâce aux investissements des Émirats Arabes Unis en Afrique où la valeur de ces contributions s’est élevée à 5,64 milliards de dollars américains au cours des années précédentes, la semaine africaine du pétrole a offert une plateforme entendant encourager et favoriser l’établissement futur de collaborations et partenariats qui sont bien susceptibles d’aboutir à la conclusion d’accords à valeur ajoutée au niveau du secteur de l’énergie. Ainsi, la participation d’entreprises et de sociétés opérant au Moyen-Orient ainsi qu’aux états-membres du Conseil de Coopération du Golfe a bel et bien reflété l’intérêt infini du Moyen-Orient en l’établissement d’un partenariat avec le secteur de l’énergie en Afrique.
Ainsi, au cours de son discours inaugural à la semaine africaine du pétrole, Son Excellence, Suhail AL MAZROUEI, Ministre de l’Énergie et des Infrastructures aux Émirats Arabes Unis, a bien souligné les liens unissant les Émirats Arabes Unis et les pays africains depuis bien longtemps, tout comme il a mis la position du pays en tant que centre financier mondial émergent en lumière.
Dans ce contexte, il déclara : « Il convient de noter que l’Afrique forme l’une des économies mondiales qui témoignent aujourd’hui d’une croissance rapide, tout comme la transformation économique à l’échelle du secteur de l’énergie africain contribue actuellement à rendre l’environnement comme idéal et favori à l’accueil d’investissements fournis par le monde entier, notamment par les Émirats Arabes Unis et la région du Moyen-Orient. Ceci dit, et comme s’étant établie en tant que référence mondiale au niveau du développement industriel et ce, grâce à l’exploitation efficace des ressources énergétiques, ainsi qu’un pionnier régional à cet égard, il est nécessaire de vous rappeler de l’intérêt que nous portons envers le marché africain. En effet, nous avons constaté que cet intérêt est réciproque, comme l’Ouganda a profité de l’Exposition Universelle à Dubaï, en son édition de l’an 2020, et a récemment conclu de nouveaux accords d’affaires relevant de plusieurs secteurs, tels que le secteur de l’énergie renouvelable. Ainsi, nous sommes sûrs et certains que la semaine africaine du pétrole offrira une plateforme qui entend faciliter l’exécution des opérations d’investissement présentés ainsi que l’établissement de partenariats entre les investisseurs internationaux et les secteurs public et privé en Afrique. En notre qualité de partenaire bien proche de l’Afrique, nous espérons ainsi faciliter le flux de capitaux qui contribueront au développement social et économique en Afrique et au Moyen-Orient. »
Il ajouta : « Suite à la propagation de la pandémie, le secteur pétrolier et gazier a connu une instabilité non témoignée auparavant en 2020. Toutefois, alors que l’économie se redresse, nous assistons aujourd’hui à une relance économique. Ainsi, nous pouvons déclarer que la croissance économique est restée bien forte cette année, notamment au cours du deuxième trimestre de l’an 2021. Quant aux Émirats Arabes Unis, la Banque Centrale du pays estime, à l’aube de l’an 2022, que le pays connaîtra une croissance importante à l’échelle du Produit Intérieur Brut. D’autant plus, il est bien évident au monde entier que le pétrole et le gaz forment une source importe d’approvisionnement en énergie primaire et que ces deux éléments sont un facteur d’influence important au niveau de la croissance économique et le développement du secteur industriel. »
Pour sa part, Son Excellence, Khamis Juma BUAMIM, Président du Conseil de Dubai pour l’Industrie Marine et Maritime (DCMMIEmirates), déclara : « Des liens étroits nous réunissent avec l’Afrique depuis longtemps. En effet, cet évènement nous a présenté une grande opportunité entendant la réanimation de ces liens. En outre, la participation à la semaine africain du pétrole ainsi qu’aux expositions relevant des secteurs de l’énergie nationaux m’a été bien instructive, comme ceci m’a rendu capable d’apprendre davantage sur les opportunités offertes par le secteur de l’énergie en Afrique et rencontrer les ministres de certains pays africains, tels que le Kenya, la Mauritanie, et le Ghana pour discuter directement des défis, enjeux, et opportunités futurs. D’autant plus, je suis bien convaincu que le partage et l’échange de connaissances et d’expérience nous permettrons d’établir des accords de valeur entre les deux parties. »
Résolution des problèmes relevant de l’accès à l’énergie et aux infrastructures
En effet, l’un des défis et enjeux principaux auxquels le secteur de l’énergie en Afrique fait face relève de l’accès à l’énergie, comme une grande majorité de la population africaine est privée de tout accès au gaz pour cuisiner, voire même l’alimentation électrique.
Dans ce cadre-ci, Son Excellence, Dr. Amani ABOU ZEID, Commissaire Responsable des Infrastructures et de l’Énergie à l’Union Africaine, annonça : « L’Afrique est bien riche en ressources naturelles et énergétique en toutes leurs formes. Toutefois, nous faisons face à un obstacle relevant de l’accès à l’énergie. En effet, 600 millions de personnes environ en Afrique sont privés de l’accès à l’alimentation électrique, tout comme 900 millions de personnes environ souffrent d’un manque d’accès au gaz pour cuisiner. Ainsi, le problème susmentionné forme un domaine que nous abordons dans le cadre de notre travail. Ceci dit, nous entendons déployer tout effort possible en vue de garantir que nous jouissons de l’expérience et la technologie qui nous sommes nécessaires dans le cadre de la réalisation de nos objectifs relevant de la demande de la population africaine pour l’accès à l’énergie propre. Ainsi, nous déployons actuellement plein d’efforts pour transformer l’Afrique en un continent vert, ami de l’environnement, et ce, en introduisant des programmes pertinents et en élaborant des politiques qui entendent nous guider vers la bonne direction à adopter à cet égard. D’autant plus, il est nécessaire de noter que la majorité de la population africaine est jeune à laquelle s’ajoutera un nombre considérable d’individus, ce qui augmentera cette dernière à 2,5 milliards de personnes d’ici 2050. Nous devons donc être bien équipés afin de répondre aux besoins de cette population croissante tout en s’assurant que la transition énergétique au niveau du continent contribue au développement à l’échelle économique et sociale, à la promotion des individus, ainsi qu’à l’éradication de l’inégalité entre les sexes, entre autres formes d’inégalité. En effet, l’Afrique doit profiter d’un niveau d’accès juste et équitable aux termes de l’énergie, notamment durant cette période qui témoigne d’un progrès rapide dans le cadre de la réalisation de nos objectifs, et tout comme nous entendons continuer ce chemin. »
Quant à Son Excellence, Didier BUDIMBU NTUBUANGA, Ministre des Hydrocarbures de la République Démocratique du Congo, il identifia le plus grand problème auquel le continent africain fait face en ce qui concerne l’énergie, étant le problème lié à l’infrastructure. Il annonça : « Suite aux développements auxquels l’Afrique actuellement témoigne, nous sommes censés veiller à ce que les hydrocarbures soient disponibles, notamment au secteur des routes et du transport. En effet, ceci forme notre défi principal. D’autant plus, il convient de noter que les opportunités offertes à la République Démocratique du Congo sont gigantesques, comme le pays n’a exploité que 4% de ses réserves en hydrocarbures. C’est ainsi que le chemin à parcourir dans ce cadre-ci reste bien long. En outre, la semaine africaine du pétrole a offert à tous les gouvernements et parties exploitatrices un opportunité de réseautage. Nous avons donc participé à cet évènement afin de présenter les opportunités multiples offertes par notre pays. Nous sommes bien convaincus que nous jouissons de la chance de mettre le potentiel de notre pays en lumière ainsi que de convaincre les personnes et entités à participer à l’appel d’offre que nous lancerons en 2022, permettant ainsi à tous ceux qui participent à cette évènement de nous joindre et coopérer avec nous. »
Un évènement centralisé sur la diversité
Dans le cadre de son programme relevant de la diversité et l’inclusion, la semaine africaine du pétrole a lancé des séances de discussion intitulées « AOW Accelerates : Diversité et inclusion » qui entendent promouvoir les pratiques encourageant l’inspiration d’une plus grande parité entre les sexes dans les environnements du travails relevant du secteur de l’énergie. À cet égard, le petit-déjeuner annuel d’informations fut tenu par les entités organisatrices de la semaine africaine du pétrole et Lean in Energy (LIEN). Ce petit-déjeuner a présenté une opportunité de valeur visant à explorer le rôle de la diversité et l’inclusion aux termes de la transition énergétique en Afrique, tout en tenant un dialogue évolutif, favorisant un niveau de croissance inclusif au secteur de l’énergie, assurant la présence et la participation au sein de ce secteur et ce, en tenant en compte les apports et contributions des alliés masculins dans le cadre de ces discussions.
Lamé VERRE, la co-présidente des affaires de l’Europe et la région de l’Afrique subsaharienne à Lean in Energy (LIEN), considère que des efforts doivent être déployés davantage dans le cadre de l’établissement de la parité entre les sexes aux milieux de travail. C’est ainsi qu’elle a annoncé : « Je pense qu’un pourcentage de 50% aux termes de la représentation des femmes au niveau de la main-d’œuvre est essentiel. Ainsi, si nous voulons réaliser la diversité aux termes de la pensée et l’intellect, il est nécessaire d’inclure toutes les formes de diversité, y compris la diversité des sexes et ce, afin d’élaborer des solutions durables qui nous aiderons à surmonter les enjeux et défis présentés par la crise énergétique et climatique mondiale. »
Elle ajouta : « Nous témoignons, en général, de la présence des femmes dans différents secteurs en Afrique. Par exemple, pleins de femmes deviennent des élèves à l’école et beaucoup d’entre elles rejoignent le monde du travail. D’autant plus, des femmes président sur des pays en Afrique et plusieurs femmes assument le rôle de députées. Toutefois, le secteur de l’énergie est légèrement en retard vis-à-vis ces développements relevant des autres secteurs, comme ce secteur fut traditionnellement dominé par les hommes et les individus de race blanche. Ainsi, il est nécessaire de rétablir l’équilibre entre les races, les sexes, les groupes ethniques, et tous les facteurs qui assurent que tous les groupes communautaires participent aux discussions et aux prises de décisions. J’espère donc que les participants aux séances de discussions relevant de la diversité entre les sexes rentrent à leurs pays et retournent à leur travail auprès des organisations où ils assumeront le rôle d’agents de changement entendant favoriser et promouvoir la diversité et l’inclusion dans le cadre de leur cercle d’influence. »
Le succès de la semaine africaine du pétrole, en son édition de l’an 2021
Suite au succès spectaculaire réalisé par l’évènement, la société TotalEnergies, étant un parrain principal de la semaine africaine du pétrole, en son édition de l’an 2021, se fera un plaisir de revenir au Cap l’année prochaine.
Dans ce cadre-ci, Henri-Max NDONG NZUE, Premier Vice-Président de TotalEnergies pour l’Afrique, a exprimé sa satisfaction envers cet évènement en déclarant : « Accompagné d’une délégation de 40 personnes, nous sommes venus ici pour exprimer notre engagement envers l’Afrique. Ainsi, notre participation et l’observation de celle des autres parties participantes et leurs commentaires, nous a incité à renouveler notre partenariat avec les entités organisatrices de la semaine africaine du pétrole. Ainsi, nous sommes bien impatients de revenir au Cap avec les entités organisatrices afin de poursuivre les discussions avec toutes not parties prenantes. »
D’autre part, Guido BRUSCO, Directeur des Marchés en Amont chez ENI, annonça : « La participation à la semaine africaine du pétrole, organisée à Dubaï, nous a fait un grand plaisir, comme nous avons réussi à partager et échanger des idées relevant du secteur de l’énergie ainsi qu’à discuter les méthodes et moyens visant à réaliser la transition énergétique tout en utilisant les technologies importantes relevant de ce domaine et qui nous aideront à permettre au continent de réaliser l’Agenda Vert ainsi que son objectif « zéro émission net ». Ainsi, nous entendons nous engager en un collaboration étroite avec les entités organisatrices afin de discuter la manière la plus convenable pour réaliser ajouter une valeur plus grande et veiller à ce que les objectifs énumérés sous l’Agenda 2063 de l’Union Africain, en faveur du continent, soient réalisés. D’autant plus, nous entendons aussi discuter, en tant que fournisseur d’énergie à l’échelle mondiale, comment nous pouvons fournir l’expérience nécessaire visant à faciliter les réalisations susmentionnées. »
En guise de commentaire sur le succès de l’évènement, Paul Sinclair, vice-président de la Division de l’Energie et Directeur des Relations Gouvernementales au sein du corps organisateur de la semaine africaine du pétrole et la série intitulée « Le futur de l’énergie en Afrique », a annoncé : « Nous avons réussi à réaliser le succès spectaculaire de l’évènement, tout en engageant la grande participation des ministres africains, des parties compétentes en la prise de décision, ainsi que les parties prenantes principales tout au long de quatre jours. En effet, les chiffres montrent que les pays et les sociétés mondiales portent un intérêt pour le secteur de l’énergie en Afrique. En outre, nous sommes également satisfaits et comblés du soutien fournis par les partenaires qui ont assumés un rôle essentiel dans le cadre de l’accord d’un niveau de visibilité plus élevé à l’évènement et la promotion du progrès du secteur. Toutefois, cette année, nous n’avons pas été capable d’organiser la tenue de l’évènement en son environnement naturel et ceci fut notamment dû à la participation d’un grand nombre de parties africaines et la communauté internationale. C’est ainsi que Dubaï nous a offert un opportunité fantastique et nous avons bien apprécié notre séjour au pays. D’autant plus, les commentaires donnés par les gouvernements sont s’avérés être très positifs, notamment comme les gouvernements ont estimé que cet engagement est nécessaire durant cette période. »
Il ajouta : « Nous sommes bien impatients de revenir au Cap l’année prochaine et coopérer avec nos partenaires dans plus de trente pays, étant des partenaires constamment engagés envers cette mission. »
Il convient de noter, finalement, que la semaine africaine du pétrole représente la plateforme principale aux termes de l’intelligence d’affaires et la conclusion d’accords relevant du secteur pétrolier et gazier en Afrique, notamment comme cet évènement a réussi à réunir les principaux acteurs et parties prenantes du secteur pétrolier et gazier et ce, afin d’identifier et définir l’orientation future des accords et des transactions pertinents à ce secteur en Afrique, garantir la conclusion d’accords importants, ainsi que la direction des investissements en faveur des projets exécutés en Afrique, faciliter l’établissements de nouveaux partenariats à visée lucrative, et offrir des opportunités de réseautage au continent africain.
Distribué par APO Group pour Africa Oil Week.
Pour obtenir de plus amples informations ou poser une demande d’entrevue, veuillez contacter :
Le corps organisateur de la semaine africaine du pétrole
Dr. Alex MSWAKA
Adresse de messagerie électronique : alex.mswaka@hyve.group
La semaine africaine du pétrole achevée sur une note positive : Des accords de grande valeur et une forte intention de fournir des investissements au continent africain
Englobant une représentation à tous les niveaux des autorités africaines, y compris les départements et entités gouvernementaux, les investisseurs et acteurs clés du secteur de l’énergie en Afrique, la semaine africaine du pétrole a témoigné d’une participation significative des délégués et représentants compétents à l’échelle mondiale et ce, aux séances de discussion stratégiques, aux expositions relevant des secteurs de l’énergie nationaux, et aux séances abordant le réseautage entendant contribuer à la croissance des investissements ainsi qu’à l’identification de solutions visant à relever les défis et enjeux actuels auxquels le secteur de l’énergie fait face
DUBAI, Émirats arabes unis, 16 novembre 2021/APO Group/ --
La semaine africaine du pétrole (Africa-OilWeek.com) , étant l’une des expositions et conférences les plus importantes et les plus prestigieuses relevant de l’Afrique, s’est achevée jeudi passé sur une note positive, tout en témoignant de la conclusion d’accords de grande valeur ainsi que d’une forte intention de fournir des investissements futurs au continent africain, l’évènement étant tenu, en sa vingt-septième édition, du 08 au 11 novembre à Madinat Jumeirah, à Dubaï, et considéré comme la première édition de cette exposition à être tenue sur un territoire autre que le continent africain, et ayant profité du soutien accordé par les partenaires clés, tels que, entre autres, TotalEnergies, ENI, ADNOC, Chevron, Shell, et Equinor.
Un évènement pour l’Afrique… Et par l’Afrique
C’est ainsi que l’évènement a réussi à engager la participation de plus de 45 ministres et chefs de gouvernements, ainsi que deux commissaires représentant l’Union Africain et des représentants de plusieurs organisations non gouvernementales. D’autant plus, la semaine africaine du pétrole, en son édition de l’an 2021, a offert des séances de discussion relevant du futur du continent africain, notamment en ce qui concerne la réalisation de l’Agenda Vert, les objectifs « zéro émission net », ainsi que tirer profit des revenus générés par le secteur pétrolier et gazier afin d’améliorer les soins de santé, le développement à l’échelle sociale et économique et le niveau de vie de la population africaine.
En effet, l’Afrique abrite aujourd’hui quelques 1,2 milliards de personnes, auxquelles s’ajouteront environ 600 millions d’individus de moins de 25 ans et ce, d’ici 2050. C’est ainsi que le continue dépend grandement du secteur de l’énergie afin de renforcer le développement des richesses, l’établissement de l’entreprenariat, l’expansion du secteur privé, et l’industrialisation. D’autant plus, en assurant la conformité aux objectifs de développement durable établis par l’Organisation des Nations Unis ainsi qu’à l’Agenda 2063 adopté par l’Union Africaine, le corps organisateur de la semaine africaine du pétrole a annoncé, lors du premier jour de l’évènement, la tenue du Sommet pour l’Afrique Verte 2022, étant un évènement qui entend se concentrer sur les investissements au niveau des énergies à faible émission de carbone en Afrique et ce, en réunissant les parties prenantes principales afin de faciliter la tenue d’un dialogue, l’introduction de l’innovation, et la direction des capitaux en faveur du développement social et économique en Afrique.
Les Émirats Arabes Unis bien intéressés au marché africain
Grâce aux investissements des Émirats Arabes Unis en Afrique où la valeur de ces contributions s’est élevée à 5,64 milliards de dollars américains au cours des années précédentes, la semaine africaine du pétrole a offert une plateforme entendant encourager et favoriser l’établissement futur de collaborations et partenariats qui sont bien susceptibles d’aboutir à la conclusion d’accords à valeur ajoutée au niveau du secteur de l’énergie. Ainsi, la participation d’entreprises et de sociétés opérant au Moyen-Orient ainsi qu’aux états-membres du Conseil de Coopération du Golfe a bel et bien reflété l’intérêt infini du Moyen-Orient en l’établissement d’un partenariat avec le secteur de l’énergie en Afrique.
Ainsi, au cours de son discours inaugural à la semaine africaine du pétrole, Son Excellence, Suhail AL MAZROUEI, Ministre de l’Énergie et des Infrastructures aux Émirats Arabes Unis, a bien souligné les liens unissant les Émirats Arabes Unis et les pays africains depuis bien longtemps, tout comme il a mis la position du pays en tant que centre financier mondial émergent en lumière.
Dans ce contexte, il déclara : « Il convient de noter que l’Afrique forme l’une des économies mondiales qui témoignent aujourd’hui d’une croissance rapide, tout comme la transformation économique à l’échelle du secteur de l’énergie africain contribue actuellement à rendre l’environnement comme idéal et favori à l’accueil d’investissements fournis par le monde entier, notamment par les Émirats Arabes Unis et la région du Moyen-Orient. Ceci dit, et comme s’étant établie en tant que référence mondiale au niveau du développement industriel et ce, grâce à l’exploitation efficace des ressources énergétiques, ainsi qu’un pionnier régional à cet égard, il est nécessaire de vous rappeler de l’intérêt que nous portons envers le marché africain. En effet, nous avons constaté que cet intérêt est réciproque, comme l’Ouganda a profité de l’Exposition Universelle à Dubaï, en son édition de l’an 2020, et a récemment conclu de nouveaux accords d’affaires relevant de plusieurs secteurs, tels que le secteur de l’énergie renouvelable. Ainsi, nous sommes sûrs et certains que la semaine africaine du pétrole offrira une plateforme qui entend faciliter l’exécution des opérations d’investissement présentés ainsi que l’établissement de partenariats entre les investisseurs internationaux et les secteurs public et privé en Afrique. En notre qualité de partenaire bien proche de l’Afrique, nous espérons ainsi faciliter le flux de capitaux qui contribueront au développement social et économique en Afrique et au Moyen-Orient. »
Il ajouta : « Suite à la propagation de la pandémie, le secteur pétrolier et gazier a connu une instabilité non témoignée auparavant en 2020. Toutefois, alors que l’économie se redresse, nous assistons aujourd’hui à une relance économique. Ainsi, nous pouvons déclarer que la croissance économique est restée bien forte cette année, notamment au cours du deuxième trimestre de l’an 2021. Quant aux Émirats Arabes Unis, la Banque Centrale du pays estime, à l’aube de l’an 2022, que le pays connaîtra une croissance importante à l’échelle du Produit Intérieur Brut. D’autant plus, il est bien évident au monde entier que le pétrole et le gaz forment une source importe d’approvisionnement en énergie primaire et que ces deux éléments sont un facteur d’influence important au niveau de la croissance économique et le développement du secteur industriel. »
Pour sa part, Son Excellence, Khamis Juma BUAMIM, Président du Conseil de Dubai pour l’Industrie Marine et Maritime (DCMMIEmirates), déclara : « Des liens étroits nous réunissent avec l’Afrique depuis longtemps. En effet, cet évènement nous a présenté une grande opportunité entendant la réanimation de ces liens. En outre, la participation à la semaine africain du pétrole ainsi qu’aux expositions relevant des secteurs de l’énergie nationaux m’a été bien instructive, comme ceci m’a rendu capable d’apprendre davantage sur les opportunités offertes par le secteur de l’énergie en Afrique et rencontrer les ministres de certains pays africains, tels que le Kenya, la Mauritanie, et le Ghana pour discuter directement des défis, enjeux, et opportunités futurs. D’autant plus, je suis bien convaincu que le partage et l’échange de connaissances et d’expérience nous permettrons d’établir des accords de valeur entre les deux parties. »
Résolution des problèmes relevant de l’accès à l’énergie et aux infrastructures
En effet, l’un des défis et enjeux principaux auxquels le secteur de l’énergie en Afrique fait face relève de l’accès à l’énergie, comme une grande majorité de la population africaine est privée de tout accès au gaz pour cuisiner, voire même l’alimentation électrique.
Dans ce cadre-ci, Son Excellence, Dr. Amani ABOU ZEID, Commissaire Responsable des Infrastructures et de l’Énergie à l’Union Africaine, annonça : « L’Afrique est bien riche en ressources naturelles et énergétique en toutes leurs formes. Toutefois, nous faisons face à un obstacle relevant de l’accès à l’énergie. En effet, 600 millions de personnes environ en Afrique sont privés de l’accès à l’alimentation électrique, tout comme 900 millions de personnes environ souffrent d’un manque d’accès au gaz pour cuisiner. Ainsi, le problème susmentionné forme un domaine que nous abordons dans le cadre de notre travail. Ceci dit, nous entendons déployer tout effort possible en vue de garantir que nous jouissons de l’expérience et la technologie qui nous sommes nécessaires dans le cadre de la réalisation de nos objectifs relevant de la demande de la population africaine pour l’accès à l’énergie propre. Ainsi, nous déployons actuellement plein d’efforts pour transformer l’Afrique en un continent vert, ami de l’environnement, et ce, en introduisant des programmes pertinents et en élaborant des politiques qui entendent nous guider vers la bonne direction à adopter à cet égard. D’autant plus, il est nécessaire de noter que la majorité de la population africaine est jeune à laquelle s’ajoutera un nombre considérable d’individus, ce qui augmentera cette dernière à 2,5 milliards de personnes d’ici 2050. Nous devons donc être bien équipés afin de répondre aux besoins de cette population croissante tout en s’assurant que la transition énergétique au niveau du continent contribue au développement à l’échelle économique et sociale, à la promotion des individus, ainsi qu’à l’éradication de l’inégalité entre les sexes, entre autres formes d’inégalité. En effet, l’Afrique doit profiter d’un niveau d’accès juste et équitable aux termes de l’énergie, notamment durant cette période qui témoigne d’un progrès rapide dans le cadre de la réalisation de nos objectifs, et tout comme nous entendons continuer ce chemin. »
Quant à Son Excellence, Didier BUDIMBU NTUBUANGA, Ministre des Hydrocarbures de la République Démocratique du Congo, il identifia le plus grand problème auquel le continent africain fait face en ce qui concerne l’énergie, étant le problème lié à l’infrastructure. Il annonça : « Suite aux développements auxquels l’Afrique actuellement témoigne, nous sommes censés veiller à ce que les hydrocarbures soient disponibles, notamment au secteur des routes et du transport. En effet, ceci forme notre défi principal. D’autant plus, il convient de noter que les opportunités offertes à la République Démocratique du Congo sont gigantesques, comme le pays n’a exploité que 4% de ses réserves en hydrocarbures. C’est ainsi que le chemin à parcourir dans ce cadre-ci reste bien long. En outre, la semaine africaine du pétrole a offert à tous les gouvernements et parties exploitatrices un opportunité de réseautage. Nous avons donc participé à cet évènement afin de présenter les opportunités multiples offertes par notre pays. Nous sommes bien convaincus que nous jouissons de la chance de mettre le potentiel de notre pays en lumière ainsi que de convaincre les personnes et entités à participer à l’appel d’offre que nous lancerons en 2022, permettant ainsi à tous ceux qui participent à cette évènement de nous joindre et coopérer avec nous. »
Un évènement centralisé sur la diversité
Dans le cadre de son programme relevant de la diversité et l’inclusion, la semaine africaine du pétrole a lancé des séances de discussion intitulées « AOW Accelerates : Diversité et inclusion » qui entendent promouvoir les pratiques encourageant l’inspiration d’une plus grande parité entre les sexes dans les environnements du travails relevant du secteur de l’énergie. À cet égard, le petit-déjeuner annuel d’informations fut tenu par les entités organisatrices de la semaine africaine du pétrole et Lean in Energy (LIEN). Ce petit-déjeuner a présenté une opportunité de valeur visant à explorer le rôle de la diversité et l’inclusion aux termes de la transition énergétique en Afrique, tout en tenant un dialogue évolutif, favorisant un niveau de croissance inclusif au secteur de l’énergie, assurant la présence et la participation au sein de ce secteur et ce, en tenant en compte les apports et contributions des alliés masculins dans le cadre de ces discussions.
Lamé VERRE, la co-présidente des affaires de l’Europe et la région de l’Afrique subsaharienne à Lean in Energy (LIEN), considère que des efforts doivent être déployés davantage dans le cadre de l’établissement de la parité entre les sexes aux milieux de travail. C’est ainsi qu’elle a annoncé : « Je pense qu’un pourcentage de 50% aux termes de la représentation des femmes au niveau de la main-d’œuvre est essentiel. Ainsi, si nous voulons réaliser la diversité aux termes de la pensée et l’intellect, il est nécessaire d’inclure toutes les formes de diversité, y compris la diversité des sexes et ce, afin d’élaborer des solutions durables qui nous aiderons à surmonter les enjeux et défis présentés par la crise énergétique et climatique mondiale. »
Elle ajouta : « Nous témoignons, en général, de la présence des femmes dans différents secteurs en Afrique. Par exemple, pleins de femmes deviennent des élèves à l’école et beaucoup d’entre elles rejoignent le monde du travail. D’autant plus, des femmes président sur des pays en Afrique et plusieurs femmes assument le rôle de députées. Toutefois, le secteur de l’énergie est légèrement en retard vis-à-vis ces développements relevant des autres secteurs, comme ce secteur fut traditionnellement dominé par les hommes et les individus de race blanche. Ainsi, il est nécessaire de rétablir l’équilibre entre les races, les sexes, les groupes ethniques, et tous les facteurs qui assurent que tous les groupes communautaires participent aux discussions et aux prises de décisions. J’espère donc que les participants aux séances de discussions relevant de la diversité entre les sexes rentrent à leurs pays et retournent à leur travail auprès des organisations où ils assumeront le rôle d’agents de changement entendant favoriser et promouvoir la diversité et l’inclusion dans le cadre de leur cercle d’influence. »
Le succès de la semaine africaine du pétrole, en son édition de l’an 2021
Suite au succès spectaculaire réalisé par l’évènement, la société TotalEnergies, étant un parrain principal de la semaine africaine du pétrole, en son édition de l’an 2021, se fera un plaisir de revenir au Cap l’année prochaine.
Dans ce cadre-ci, Henri-Max NDONG NZUE, Premier Vice-Président de TotalEnergies pour l’Afrique, a exprimé sa satisfaction envers cet évènement en déclarant : « Accompagné d’une délégation de 40 personnes, nous sommes venus ici pour exprimer notre engagement envers l’Afrique. Ainsi, notre participation et l’observation de celle des autres parties participantes et leurs commentaires, nous a incité à renouveler notre partenariat avec les entités organisatrices de la semaine africaine du pétrole. Ainsi, nous sommes bien impatients de revenir au Cap avec les entités organisatrices afin de poursuivre les discussions avec toutes not parties prenantes. »
D’autre part, Guido BRUSCO, Directeur des Marchés en Amont chez ENI, annonça : « La participation à la semaine africaine du pétrole, organisée à Dubaï, nous a fait un grand plaisir, comme nous avons réussi à partager et échanger des idées relevant du secteur de l’énergie ainsi qu’à discuter les méthodes et moyens visant à réaliser la transition énergétique tout en utilisant les technologies importantes relevant de ce domaine et qui nous aideront à permettre au continent de réaliser l’Agenda Vert ainsi que son objectif « zéro émission net ». Ainsi, nous entendons nous engager en un collaboration étroite avec les entités organisatrices afin de discuter la manière la plus convenable pour réaliser ajouter une valeur plus grande et veiller à ce que les objectifs énumérés sous l’Agenda 2063 de l’Union Africain, en faveur du continent, soient réalisés. D’autant plus, nous entendons aussi discuter, en tant que fournisseur d’énergie à l’échelle mondiale, comment nous pouvons fournir l’expérience nécessaire visant à faciliter les réalisations susmentionnées. »
En guise de commentaire sur le succès de l’évènement, Paul Sinclair, vice-président de la Division de l’Energie et Directeur des Relations Gouvernementales au sein du corps organisateur de la semaine africaine du pétrole et la série intitulée « Le futur de l’énergie en Afrique », a annoncé : « Nous avons réussi à réaliser le succès spectaculaire de l’évènement, tout en engageant la grande participation des ministres africains, des parties compétentes en la prise de décision, ainsi que les parties prenantes principales tout au long de quatre jours. En effet, les chiffres montrent que les pays et les sociétés mondiales portent un intérêt pour le secteur de l’énergie en Afrique. En outre, nous sommes également satisfaits et comblés du soutien fournis par les partenaires qui ont assumés un rôle essentiel dans le cadre de l’accord d’un niveau de visibilité plus élevé à l’évènement et la promotion du progrès du secteur. Toutefois, cette année, nous n’avons pas été capable d’organiser la tenue de l’évènement en son environnement naturel et ceci fut notamment dû à la participation d’un grand nombre de parties africaines et la communauté internationale. C’est ainsi que Dubaï nous a offert un opportunité fantastique et nous avons bien apprécié notre séjour au pays. D’autant plus, les commentaires donnés par les gouvernements sont s’avérés être très positifs, notamment comme les gouvernements ont estimé que cet engagement est nécessaire durant cette période. »
Il ajouta : « Nous sommes bien impatients de revenir au Cap l’année prochaine et coopérer avec nos partenaires dans plus de trente pays, étant des partenaires constamment engagés envers cette mission. »
Il convient de noter, finalement, que la semaine africaine du pétrole représente la plateforme principale aux termes de l’intelligence d’affaires et la conclusion d’accords relevant du secteur pétrolier et gazier en Afrique, notamment comme cet évènement a réussi à réunir les principaux acteurs et parties prenantes du secteur pétrolier et gazier et ce, afin d’identifier et définir l’orientation future des accords et des transactions pertinents à ce secteur en Afrique, garantir la conclusion d’accords importants, ainsi que la direction des investissements en faveur des projets exécutés en Afrique, faciliter l’établissements de nouveaux partenariats à visée lucrative, et offrir des opportunités de réseautage au continent africain.
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Pour obtenir de plus amples informations ou poser une demande d’entrevue, veuillez contacter :
Le corps organisateur de la semaine africaine du pétrole
Dr. Alex MSWAKA
Adresse de messagerie électronique : alex.mswaka@hyve.group
Effat MOSTAFA, Directeur exécutif
Société « Tactics Marketing Management »
effat@tactics.ae
+971 55 414 7882
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